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Kyoto

Kyoto

Photos en vrac

Pour ce dernier post concernant Kyoto, voici quelques photos anecdotiques qui retracent un peu ce que nous avons pu faire ou voir spontanément pendant notre séjour.

Moshimoya.

Voici un petit restaurant charmant et convivial dans lequel nous avons mangé de la nourriture cuisinée sur place et très bonne (riz frit, gyozas, poulet frit…)

Voilà le genre de maison que l’on peut croiser à n’importe quel coin de rue, il y a vraiment de très jolis endroits partout!

Un petit magasin de fleurs…

Ou encore un temple vu par hasard, de nuit (à Kyoto, on se trouve sans cesse nez à nez avec des temples).

En voici un autre, tout en haut d’une petite rue commerçante très prisée des touristes :

Kiyomizu dera temple

Ceci est un dorayaki. Pour ceux qui auront lu le livre de Durian Sekegawa (ou vu le film) Les délices de Tokyo, vous verrez tout de suite de quelle spécialité il s’agit. Ce sont deux pancakes fourrés à la pâte de haricots rouges. Au Japon, beaucoup de pâtisseries sont faites avec cette pâte sucrée appelée anko.

Et pour finir, j’ai atterri en plein milieu d’une cérémonie/célébration bouddhiste. L’ambiance était très odorante, entre l’encens qui brûlait et l’odeur agréable des branches de pin que certains vendaient.

Prières bouddhistes
Le palais impérial de Kyoto

Le palais impérial de Kyoto

Cette ancienne résidence des empereurs Japonais est construite à l’abri d’une grande enceinte de gros murs qui elle-même se trouve dans l’immense parc de Kyoto-gyoen, une oasis de verdure en plein Kyoto. On peut visiter le Kyoto-gosho gratuitement après en avoir trouvé l’entrée 🙂

La visite consiste en une déambulation entre les divers bâtiments sans jamais pouvoir en visiter l’intérieur. Ce jour-là, bizarrement, il n’y avait vraiment pas grand monde.

Les jardins du palais impérial de Kyoto
La colline aux 10000 torii

La colline aux 10000 torii

Kyoto – sanctuaire de Fushimi Inari Taisha

Ce sanctuaire shinto dédié à la déesse Inari – le plus grand du Japon – est situé au Sud de la ville de Kyoto, sur le Mont Inari. On admire la beauté de ce complexe en faisant le chemin de randonnée, balisé de milliers de portiques vermillons appelés torii. Une ascension pas si facile que ça, où les escaliers se succèdent pour arriver à différents paliers qui offrent chacun une petite boutique. Nous avons donc grimpé ce Mont Inari au matin du 8 août 2023 accompagnés d’une petite pluie.

C’est vraiment impressionnant de marcher des kilomètres – 4 km – entre cette enfilade de torii qui n’en finit pas. Chaque torii est marqué du nom de son donateur (riches particuliers ou entreprises) et de la date de pose. Pour une entreprise, c’est un moyen d’attirer la prospérité en étant généreux avec la divinité Inari mais c’est sans nul doute aussi moyen de se faire une petite publicité visible sur le torii.

Premiers jours à Kyoto

Premiers jours à Kyoto

La gare de Kyoto, comme celle d’Osaka, possède un grand complexe commercial. De là, on peut aussi accéder à la tour de Kyoto (la plus haute construction de la ville : 131 mètres), qui nous offre une magnifique vue à 360° de la ville. Après être entrés sans mal dans un ascenseur qui vous propulse directement au dernier des 9 étages, nous contemplons depuis la plateforme l’étendue et la diversité de notre nouveau lieu d’aventures et de découvertes. Nous constatons que la ville est entourée de petites collines et surtout, qu’il y a des temples un peu partout.

Vue de la Tour de Kyoto
Vue de la Tour de Kyoto

Le lendemain de notre arrivée, nous décidons de visiter le quartier d‘Arashiyama au Nord-Ouest de la ville, là où coule une rivière, où pousse une forêt de bambous et où vit une colonie de singes en haut de la colline. C’est un petit quartier à part, à l’écart du centre de la ville.


Après tout ça, la faim se fait ressentir et nous nous laissons conduire vers Takara Sushi.

Takara Sushi

C’est dans ce restaurant de sushis à première vue fermé que nous avons passé un moment unique. Il fallait passer la porte, manifester notre présence, pour qu’un Japonais d’un certain âge nous accueille les bras ouverts avec une envie certaine de nous rendre heureux.

Il s’est mis à confectionner devant nous les meilleurs sushis jamais mangés, tout en faisant la conversation en anglais et japonais. Nous étions les rois du monde, tous les quatre, seuls clients ayant l’entière attention de cet homme (et de sa femme – qui s’affairait aussi à nous servir les couverts, sauces, boissons) avide de communication et de partage.

Itadakimasu !

L’occasion pour Joshua de parfaire son japonais, de se réconcilier avec les sushis pour moi, de découvrir la subtile touche de wasabi ou de gingembre, d’apprendre comment bien manger un sushi (il ne faut jamais tremper le riz dans la sauce soja ! ) et de régaler nos papilles. Nous sommes sortis de ce minuscule restaurant (six places au comptoir) rassasiés physiquement et émotionnellement. Arigato gozaimashita !